Le mouvement citoyen Machozi ya Raïya exprime son soutien aux nouvelles mesures sécuritaires annoncées par la Mairie de la ville d’Uvira dans le cadre de la lutte contre l’insécurité qui sévit à l’Est de la République Démocratique du Congo. Dans un communiqué officiel, les autorités locales ont instauré un couvre-feu de 21h00 à 05h00 ainsi qu'une restriction des entrées et sorties de la ville à partir de 18h00, à l’exception des véhicules militaires, des services de sécurité et des ambulances. Ces décisions visent à renforcer la sécurité des habitants face aux menaces persistantes dans la région. Machozi ya Raïya salue ces mesures et encourage leur stricte application. « Nous considérons ces décisions comme une avancée importante pour la protection des citoyens pendant cette période où notre pays est agressé par le régime de Kigali et de ses supplétifs du M23/AFC. Il est crucial que tous les habitants respectent ces directives afin de garantir leur efficacité », a déclaré Emmanuel ...

Dans les provinces de l’Est de la République démocratique du Congo (RDC), la présence de femmes rwandaises travaillant dans des bars, boîtes de nuit et sites miniers suscite une vive inquiétude en ce moment d’agression Rwandaise et de ses supplétifs du M23/AFC.  La société civile du Sud-Kivu, notamment le Mouvement citoyen *Machozi ya Raïa*, dénonce ces femmes comme des « espionnes » infiltrées par le Rwanda pour déstabiliser la région. Mussa Ali Rutamu Coordonnateur Provincial de Machozi ya Raïya exige « la fermeture immédiate des établissements de nuit et le rapatriement de ces jeunes femmes » . Une région en proie aux conflits et à l’ingérence rwandaise Le Sud-Kivu, comme le Nord-Kivu et l’Ituri, est depuis des années un épicentre de violences liées aux groupes armés, dont le M23/AFC, soutenu par le Rwanda selon des rapports de l’ONU . Les Forces de défense rwandaises (RDF) sont accusées de contrôler directement les opérations de ce groupe rebelle, qui après la prise de Bunag...

Des milliers de déplacés bloqués faute de documents de voyage Alors que le conflit armé opposant les Forces armées congolaises (FARDC) au groupe rebelle M23/AFC soutenu par le Rwanda, s’intensifie dans l’Est de la RDC, des milliers de déplacés fuyant les violences se retrouvent bloqués à Uvira, dans la province du Sud-Kivu. Ces personnes, originaires du Nord-Kivu, plus majoritairement de la ville de Bukavu et de ses environs, tentent de rejoindre le Burundi pour échapper au rumeurs d’une probable prise de Bukavu, mais font face à une pénurie critique de l’autorisation spéciale de circulation communément appelée CPGL, un document essentiel délivré par la Direction Générale de la Migration (DGM) pour voyager dans la région de la Communauté économique des Pays des Grands Lacs (CPGL). Une crise régionale exacerbée par le M23 Le M23/AFC appuyé par des forces rwandaises, ont renforcés ses positions stratégiques dans les provinces du Nord et Sud-Kivu, notamment à Goma, où ils ont déjà formé...

Uvira, le 06 Février 2025. Contrairement aux rumeurs qui circulent sur les réseaux sociaux et dans certaines discussions locales, la frontière de Kavimvira et celle reliant le Burundi à la RDC ne sont pas fermées. Cette information vient d'être clarifiée par le Mouvement Citoyen MACHOZI YA RAÏYA d’Uvira, qui appelle la population du Sud-Kivu et du Nord-Kivu à ne pas céder à la désinformation. Selon les précisions du mouvement, la frontière a été momentanément fermée à 16h en raison de l’embouteillage massif et du débordement des déplacés fuyant vers le Burundi. Il s’agissait donc d’une mesure temporaire de régulation du trafic et non d’une fermeture définitive. Aucune autorité officielle n’a annoncé une quelconque fermeture de ces points de passage. Souligne Mussa Ali Rutamu, Coordonnateur Provincial de ce mouvement citoyen. Dans ce contexte de crise où la RDC fait face à l’agression du Rwanda à travers le M23/AFC, les rumeurs et fausses informations risquent de semer la panique pa...

Le mouvement citoyen MACHOZI YA RAÏYA exige des mesures urgentes face à la recrudescence des actes criminels. Dans la nuit du 4 février 2025, vers minuit, un jeune homme identifié comme Maboko a été sauvagement attaqué par des individus armés lors d’une intrusion violente dans une habitation de la commune de Kalundu à Uvira (Sud-Kivu). Cet incident illustre l’insécurité grandissante qui frappe la région, poussant les habitants et les organisations locales à exiger une action rapide des autorités.   L’agression s’est produite dans l'avenue Kakamba, numéro 189, où Maboko rendait visite à son frère, Jackson Kavyegea. Selon des témoins, des hommes armés ont fait irruption dans la maison, ont frappé la victime avec une brutalité extrême (« *kumutendeya kinyama* »), avant de voler une somme d’argent non précisée. Gravement blessé, Maboko a été transporté au centre de santé Mulimbalimba, situé avenue Rugembe, en face de l’Institut de la Paix .   Le mouvement citoyen MACHOZI...

Face à l’agression du M23 et à la crise sécuritaire dans l’Est de la RDC, le mouvement citoyen Machozi Ya Raïya (MCMR) lance un appel urgent à la fermeture des débits de boissons fortement alcoolisées et des Nganda, qu’il juge « facteurs de débauche et d’espionnage ».  Dans une déclaration publiée ce 30 janvier 2025, le MCMR, basé à Uvira (Sud-Kivu), alerte sur les risques que représentent ces établissements pour la mobilisation patriotique et la sécurité nationale, en pleine guerre contre les rebelles du M23, soutenus par le régime du Rwanda. Le mouvement exige des mesures radicales, allant de la fermeture immédiate des lieux de divertissement nocturnes à la destruction des boissons alcoolisées populaires, en passant par le rapatriement des femmes rwandaises accusées d’espionnage.   Contexte : Une région en état d’urgence Le Sud-Kivu et le Nord-Kivu subissent depuis des mois une escalade violente des combats entre les Forces Armées de la RDC (FARDC), les patriotes Wazale...