Dans une lettre ouverte au Président Tshisekedi, le mouvement citoyen MACHOZI YA RAÏYA dénonce la reconduction de ministres "sans résultats" dans un remaniement gouvernemental et fustige un "exécutif de convenances politiques du clientélisme". Le Mouvement citoyen Machozi ya Raïya l'a exprimé, ce samedi, sa "profonde désolation" après l'annonce du remaniement ministériel du 8 août 2025, dans une lettre ouverte adressée au Président Félix Tshisekedi. Ce mouvement dénonce la reconduction de plusieurs ministres dont le bilan serait "inexistant", qualifiant cette décision de "prime à l’inaction" dans un contexte de crise socio-économique aiguë.   Dans son courrier, le mouvement souligne que le peuple congolais, confronté à une pauvreté touchant 74 % de la population, à l’insécurité persistante à l’Est (avec plus de 6 millions de déplacés) et à l’effondrement des services publics, attendait un gouvernement de résultats positif. ...

Un parfum de colère monte du territoire de Mwenga. Le mouvement citoyen MACHOZI YA RAÏYA tire la sonnette d’alarme et dénonce un véritable système de rançonnage mis en place par des éléments se réclamant des Wazalendo. Selon le communiqué du mouvement, les habitants et transporteurs sont contraints de payer des sommes exorbitantes à des dizaines de barrières érigées à travers le territoire. De Burhinyi à Wamuzimu, en passant par Lwindi et Basile, les points de perception illégaux se succèdent à un rythme effarant. Montants exigés : de 5 000 à 30 000 francs congolais par passage notamment à Muduwe : 10 000 FC, Lwindi : 30 000 FC, Mwenga centre : 10 000 FC, Mwenewanda : 20 000 FC, Pont Elila : 10 000 FC, Plusieurs autres points imposant 5 000 FC chacun, jusque dans les sentiers menant à Mulungu. Fait plus grave : certaines barrières seraient tenues par des éléments des Forces armées de la RDC (FARDC), ce qui accroît la peur et dissuade les victimes de porter plainte.  « Nous dénonçon...

  Le mouvement citoyen MACHOZI YA RAÏA (MCMR) a tiré la sonnette d'alarme dans une lettre urgente adressée aux autorités locales, dénonçant une extraction illégale de sable dans les rivières Malala et M'Kemakye, en ville de Baraka. Cette pratique, non autorisée, provoquerait une grave dégradation environnementale et aurait déjà coûté la vie à un enfant de 8 ans.   Dans sa missive (N°005/MCMR Brk/AFAL/2025), le coordinateur du MCMR, le Professeur Akwa Fleming, alerte sur les dangers de cette exploitation sauvage. « Cette extraction non autorisée nuit gravement à l'environnement local et compromet la sécurité des infrastructures environnantes », écrit-il. Parmi les conséquences relevées : l’érosion accélérée des terres, la destruction des écosystèmes et l’instabilité des sols.   Le drame s’est produit dans la soirée du jeudi 07 août 2025, lorsqu’un jeune garçon nommé Saleh, habitant du quartier Macampagne, a perdu la vie après l’effondrement d’une carrière sous-ma...